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  5. ​De Iguaçu à la Bolivie, à travers l’Argentine

Pour rejoindre la Bolivie depuis Iguaçu par la terre, il y a 2 possibilités : en traversant le Paraguay ou l’Argentine.
Suivant les conseils des amis, j’ai choisi l’Argentine. J’ai rejoins Salta en bus (1450kms, 22h du bus) avec une pause à Corrientes afin de couper le long trajet. Les bus ont 2 classes de confort : cama ou semi cama, les premiers ont des sièges larges qui s’allongent presque entièrement, en général, ils sont au rez-de-chaussée. Au dessus, on trouve les semi cama, dont les dossiers se baissent, ils disposent aussi de repose-jambes. J’ai voyagé de 18h à 7h (j+1), nous avons eu un petit plateau repas, un film et un distributeur de café sucré et chaud était à disposition toute la nuit… Un vrai bonheur !

À Salta, je retrouve Lila qui a le même itinéraire que moi les prochains jours, nous allons donc partager nos dortoirs.

(Salta, église San Francisco)

Après le check in, on profite de la ville pour un petit ravitaillement. Le lendemain, une pluie tropicale nous tombe dessus, rendant impossible toute sortie. Je trouve tout de même des espadrilles 

et une tasse à maté avec une paille métallique, comme celles qu’utilisent les argentins en tout lieu. Ils vont jusqu’à transporter un thermos d’eau chaude afin de boire toute la journée et certaines boutiques vendent de l’eau bouillante pour ces consommateurs de thé acharnés.À notre hébergement, nous croisons Guillaume, un français qui voyage pendant 1 an en Argentine avec un visa tourisme + travail.

Le jour suivant, nous prenons un bus pour San Salvador de Jujuy et de là un autre bus pour Purmamarca. Le deuxième était génial : pas de climatisation, beaucoup de gens typés des Andes et en sortant de la ville, j’aperçois plusieurs groupes de cavaliers en costume traditionnel, chaque groupe portant un costume différent et un drapeau. Le bus nous a emmené dans la montagne, fenêtres ouvertes et musique à fond.

(Purmamarca)

Nous arrivons à Purmamarca, petit village très (trop) touristique. Partout, les étalages de souvenirs se succèdent, proposant tous à peu près la même chose. Nous posons nous sacs et allons faire la promenade de 3 kms pour admirer la montagne aux 7 couleurs. Le lendemain matin, je refais la promenade au lever du soleil : superbes couleurs, personne dans les rues… 

Lila part de son côté pour Salinas Grandes en taxi collectif, pour ma part, ayant pour projet de voir le salar de Uyuni, je fais l’impasse sur cette visite et je file vers Tilcara.

Autre village à touriste, même souvenirs à vendre, succession d’hébergements et de restaurants… Je pose mon sac à l’hostel (genre de gîte d’étape où nous avons un dortoir de 5 lits superposés), puis je fais le tour de la ville. Je m’asseois sur un banc et discute avec un vieux monsieur, camelot sur la place principale. On discute un moment (enfin, il parle, j’essaie de tout comprendre et de répondre de manière intelligible), lorsque je lui explique que le lendemain je souhaite faire la randonnée de la gorge du diable, il me propose de me prêter un bâton pour que je ne me foule pas une cheville sur les cailloux. Je rentre me coucher avec une insolation.

(Rando « Garganta del Diablo », Tilcara)

Le lendemain, je pars de bonne heure, 8h15, je passe chercher mon bâton et je grimpe vers la gorge du diable. Balade sympa, petite gorge et minuscule cascade (je suis devenue très difficile en cascade). Au retour, je croise Lila qui commence la balade. Pour ma part, je rentre en passant par les ruines de Pucará : « Le Pucará de Tilcara est une forteresse ( pucará) construite par les indiens Omaguacas , de la tribu des Tilcaras. » (Wikipedia).

Je passe par le jardin botanique où ne pousse que des cactus !

Retour à mon hostel, je récupère mon sac à dos passe rendre son bâton à Indio le vendeur, puis je prends un bus pour Humahuaca. Je cherche l’hébergement que Louis d’Ardèche m’a recommandé mais il n’y a aucun nom de rue indiqué, l’appli magique ne me permet pas de me repérer suffisamment, mon GPS ne fonctionne pas, je demande mon chemin, en vain… Après avoir tourné un bon moment avec le sac à dos en plein soleil, je capitule et cherche l’hostel que Lila à réservé pour la nuit suivante, ce qui m’évitera un déménagement. Je le trouve rapidement, on me donne un lit dans un dortoir de 4 personnes, j’y rencontre Marion, française déjà installé dans la chambre. 

(El Giramundo Hostel)

Lila nous rejoins peu de temps après et nous enchaînons avec une soirée « Admirons le coucher de soleil et le lever de lune tous ensemble », organisée par l’hostel (avec un supplément financier). Nous partons à une trentaine à pied vers la montagne. 

(Photo prise par Dominic)

En haut, le vent nous attend. Les journées sont chaudes mais les nuits sont fraîches. Couché de soleil, lever de lune dans les nuages (c’est la soi-disant super lune), feu de camp, chansons : soirée sympa mais fraîche.

(Photo prise par Dominic)

Je suis quand même épuisée, j’avais commencé à marcher tôt le matin, je profite du premier convoi pour rentrer avec mes camarades de chambre. On arrive devant notre porte, Marion ouvre et qui vois- je dans le 4 ème lit ? Guillaume de Salta !

(Marion, Guillaume et moi)

Le lendemain mardi, c’est mon anniversaire ! Je m’offre une lessive (service dispensé par l’hostel) et une journée à rien faire. Je tente de récupérer des 3 derniers jours bien remplis. Je m’offre aussi un resto (risotto de quinoa aux légumes) puis je rentre à l’hostel ouvrir le cadeau que Laure m’avais donné à ouvrir pour l’occasion. J’offre des petits gâteaux à tout l’hostel, le gérant m’offre une tablette de chocolat.

(Humahuaca)

Mercredi, je commence à être malade. Je pars tout de même en taxi collectif pour admirer la montagne El Hornocal (montagne au 14 couleurs, point de vue à 4200 m environ).

En fait, les montagnes que j’observe depuis 3 jours font partie de la « Quebrada de Humahuaca ». Elles ont toutes cette particularité de dent de scie colorées. El Hornocal est la plus grande, la plus spectaculaire. L’air pur de la montagne est appréciable aussi. Un bon moment, mais court : le taxi ne nous laisse qu’une heure sur place. 

La région est patrimoine mondial de l’humanité.  whc.unesco.org/fr/list/1116

Après une nouvelle nuit, je suis toujours malade et à cours de pesos. Ne souhaitant pas faire un nouveau retrait (qui implique une taxe de ma banque + une de l’Argentine), et tous les paiements se faisant en liquide uniquement, je monte vers la Bolivie qui, après tout, est mon second objectif, après Iguaçu.

(En route pour la Bolivie)

La Bolivie !

Cette traversée de l’Argentine m’a donné envie d’y revenir plus longuement afin de poursuivre l’exploitation du Nord mais aussi pour découvrir le sud.

Je ne vois ai pas parlé de gastronomie locale qui est faite principalement d’empanadas (gluten), souvent au fromage et de boeuf grillé au barbecue. On trouve aussi beaucoup de cuisine italienne : pâtes, pizza, gnocchi. Bref, culinairement hostile pour moi.


  4. Iguazu / Iguaçu

​Au milieu d’un parc national qui abrite un tas d’espèces animales et végétales se trouvent les chutes d’Iguazu (Brésil) ou Iguaçu (Argentine). 

Ce ne fut pas évident mais mes compagnons et moi sommes arrivés pas trop tard au parc. Après avoir acheté nos entrées, ranger les sacs dans la consigne que l’on a partagé, un bus nous a déposé au départ d’un petit chemin qui longe les chutes.
Déjà, c’est spectaculaire. Plus avance, plus c’est beau. À la fin, il y a une passerelle qui nous amène au dessus de l’eau, au bord d’une chute !

(Plan du côté Argentin, l’ascenseur est en haut à gauche)

On remonte en ascenseur pour une vue global. 2 petites heures très agréables.
En repartant, nous rencontrons Damien, Polonais-Canadien qui comme nous trois s’en va vers l’Argentine. Nous faisons donc route ensemble. On part en bus, descend près de ce que nous pensons être la route principale vers l’Argentine (vive les applis) et nous commençons à patienter pour le bus. En espagnol, attendre se dit esperar… Après quelques minutes, un taxi s’arrête et nous propose le passage en douane + la course jusqu’à Puerto Iguaçu pour 10 Reals chacun (à peu près le tarif du bus, sans les problèmes !

Le gars a été super sympa, nous a accompagné au poste de frontière et nous a déposé chacun devant nos hostels (genre de gîte d’étape).

(Jardin de mon hostel)

Je prends RDV avec Christian et Marianne pour la visite des chutes côté Argentin le lendemain et prends les coordonnées Whatsapp de Damien que je retrouverai peut-être en Bolivie.

Le lendemain je rate mes compagnons pour une bête histoire d’heure brésilienne / argentine, je pars donc seule. Il y a 2 chemins, un « en bas » (bleu sur le plan) et un en haut (rouge) puis un petit train pour la fin.

Je commence par le bleu, comme la veille, c’est magnifique. Le 2ème parcours, très long, mais on ne s’en lasse pas, nous emmène sur l’eau, au dessus des chutes.

Pour finir, la balade en petit train nous amène tout près de la plus grosse chute : la gorge du diable. 

(Presque aussi beau que celui de Saint-Trojan-les-Bains)

C’est magique. L’installation est vraiment bien faite, on profiter pleinement, on en prend plein les yeux, plein les oreilles. 


C’est un spectacle unique, un lieu unique (enfin il faudrait voir les chutes Victoria…)

 
En partant, je rencontre Lila, française, qui comme moi s’en va vers Salta.


  3. Rio

Le trajet de São Paulo à Rio s’est déroulé sans encombre.
Arrivée à Rio, j’ignore royalement les taxis, je lance l’appli magique et me dirige vers l’arrêt de bus. J’avais plusieurs numéros de ligne proposés par l’appli vraiment magique donc j’attends un moment. Les bus défilent mais aucun n’est site ma liste. Quitte à porter le sac, je décide d’avancer, au moins avais-je une chance d’arriver !

3.5 kms plus tard, je trouve mon hôtel dans un quartier plutôt moyen mais l’hôtel est chouette, de style colonial, plutôt bien entretenu. La chambre est simple et donne sur une rue bruyante jour et nuit.

Il n’y a pas de climatisation mais un ventilo aussi gros que bruyant. Les fenêtres sont d’époque, pas isolante, ni du bruit, ni de la pollution.

Le lendemain il fait beau, je décide d’aller prendre l’air à la plage. En fait tout le monde à eu la même idée, d’autant que le jour est férié (2 novembre). J’y découvre le futbol-volley, le métier de livreur de glaçon, les stands de location de fauteuil, parasol, etc… certains proposent même le Wi-Fi !

( Futevolei )  

Je rentre par la ville où tout est fermé, je cherche un truc sympa à manger en vain. La nourriture n’est pas à mon goût au Brésil : entre le moins cher qui consiste en des trucs industriels micro-ondés ou frits et les restaurants qui proposent des pâtes à l’italienne, ce n’est pas vraiment intéressant.

(Une journaliste est filmée devant le théâtre municipal)

Le jeudi je suis partie explorer le centre ville et le lendemain, j’ai fait l’ascension du Corcovado sous la pluie. Le Christo avait la tête dans les nuages, un singe pilleur de poubelle m’a fait sourire, j’ai fait ma première via ferrata sur le chemin (très courte et facile). Malgré le déluge, la randonnée était agréable, l’ambiance tropicale était sympa. Il m’a manqué LA VUE !

Le lendemain, j’ai pris le bus pour Iguazu, pendant être en retard, j’ai pris un taxi. Le bougre a essayé de me vendre une excursion je ne sais où… Je n’aime pas les taxis.

J’ai préféré São Paulo à Rio, moins touristique, moins de misère. On ne se sent pas touriste à São Paulo, c’est agréable. Et puis j’ai les plages de Rio ne m’ont pas faites rêver : bordées d’immeubles et bondées. Ça n’a rien à voir avec celles de l’île d’Oléron !


2. São Paulo

Atterrissage de bon matin vers 7h30… première étape, poser le sac à dos à mon hébergement. Sauf qu’il est trop tôt… Alors je prends mon temps. Petit déjeuner, retrait de liquide, et recherche d’un moyen de transport pour la ville. J’exclus le taxi par habitude : trop facile, trop malhonnête, trop désagréable, voire les 3 à la fois.

Dehors, aucune infos sur les bus. Pas de numéros de ligne, pas d’arrêt, rien.

Et pas grand monde.

J’attends, j’observe.

Je suis au terminal 3, il y a une navette gratuite vers les autres terminaux. Je suis toujours en avance, je pars visiter l’aéroport.

Le terminal suivant est beaucoup plus vivant, et il y a un bureau pour « express airport », avec un dessin de bus. Victoire !

45$ locaux la victoire… Je ne suis plus sûre de qui a gagné 🙂 Le bus est super confortable avec une super connexion Wi-Fi. L’appli magique me dis de descendre place de la république et d’attraper une correspondance. L’appli magique m’indique l’emplacement de l’arrêt de bus et le numéro du bus et heureusement ! Parce que rien sur place n’indique ces informations.

Je monte dans le bus et apprends rapidement les bases du transport en commun. On ne paye pas au chauffeur, qui vous l’indique rapidement d’un geste et surtout pas avec le sourire. Au milieu du bus il y a un tourniquet, à côté du tourniquet un autre type pas sympa à qui je paye 3.80 Reals (beaucoup mieux que 45 !) et j’essaie de passer le tourniquet avec mon sac à dos…

Toujours grâce à mon appli magique, je suis le trajet, parce que forcément, rien est indiqué dans le bus, ni sur les abris bus, bref il faut être du coin pour prendre les transports en commun dans ce pays.

J’arrive à mon hébergement, il est midi environ, ma chambre n’est pas prête. Ce n’est pas grave, il y a un canapé et du Wi-Fi 🙂

(Église à côté de la brocante)

J’avais noté qu’il y avait une brocante en ville. Toujours avec l’appli magique, je repère le trajet EN METRO, et m’y rend. C’était très sympa; moitié brocante, moitié marché d’artisant avec une buvette et stand de nourriture accompagnés musicalement par un groupe très local. Une ambiance très sympa, un bon début dans la ville et dans le pays. Je suis rentrée à pied par l’avenue Paulista, la plus grosse avenue de São Paulo, c’est là que j’ai découvert le parc du Trianon. La rue n’a pas trop d’intérêt sinon, sauf si on veut faire du shopping. 

Le lendemain, c’était dimanche. Je suis partie à l’opposé, vers la cathédrale, à pied. Je me suis retrouvée dans le quartier Asiatique, dont même les feux piétons sont transformés pour prendre une forme locale. Sur la place du quartier (place de la Libertad), un autre marché ! Cette fois, thématique asiatique : Sushis, bonzaï et origami mais aussi jus de fruits locaux.

Après un bon petit déjeuner, je continue vers la cathédrale puis le centre administratif. L’architecture est intéressante, mélange d’ancien et de moderne en versions imposantes.
Je me suis de nouveau retrouvée sur l’avenue Paulista laquelle est fermée aux voitures le dimanche. À la place, piétons, vélos, artisanat et groupe de musique (rock, hard rock même) avec des applis branchés sur des groupes électrogènes. Et les boutiques sont ouvertes. Une ambiance assez incroyable, et une foule conséquente qui profite du beau temps. J’en ai profité pour goûter le meilleur « Pao de Queijo » du pays. Bof, peu d’intérêt.

Le lendemain, je n’ai pas fait grand chose, j’ai pris mon billet de bus pour Rio. Je voulais voir le grand parc mais il pleuvait. 
Note : L’ appli magique se nomme Here, elle est gratuite et fonctionne hors ligne si les cartes sont préalablement téléchargée. Merci à Édouardo d’Angoulême pour l’info.

  1. Madrid – Brésil

Aujourd’hui Samedi 5/11, je rattrape mon retard de publication… 
Je suis partie le 27/10 de Bordeaux à 6h00 du matin, direction Madrid. Après 10h de bus, je suis arrivée à la capitale ibérique. Mon hébergement se situait dans le quartier de Huertas, une auberge de jeunesse très sympa (Posada de Huertas). Le quartier est vivant, très pratique, idéal. 
Mon vol étant à minuit 35 dans la nuit de vendredi à samedi, j’ai donc profité de vendredi toute la journée pour visiter la ville. J’y ai trouvé ma résidence secondaire…

Après plusieurs heure à marcher dans la ville, j’ai récupéré mon sac que j’avais pu laisser à l’auberge, j’ai pris la navette de l’aéroport au départ de la gare, et je suis arrivée avec beaucoup d’avance !


  Envie d’autre chose ? Pourquoi pas le Cambodge…

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Cambodge : une destination parfaite pour passer des vacances

Le Cambodge est un pays d’Asie du Sud-Est. Il est une destination de choix pour les voyageurs à la recherche de dépaysement et des aventures. Cette contrée est attrayante grâce à ses richesses naturelles et culturelles. Elle possède de nombreux sites touristiques. Les vacanciers peuvent commencer leur circuit par la découverte d’Angkor Wat. Ce grand temple se situe à 8 km au nord de la ville de Siem Reap. Au XIIe siècle, il a été bâti par Suryavarman II. Cet édifice est devenu le symbole du pays et est imprimé sur le drapeau national. Par ailleurs, il est doté d’une architecture khmère. De plus, il évoque la maison de dieux dans la mythologie hindoue (le mont Meru). Ce site archéologique est célèbre pour sa beauté et sa taille. Il est classé au patrimoine de l’UNESCO et fait partie des merveilles du monde. Ce bâtiment abrite 3 galeries rectangulaires (chacune construite l’une au-dessus de l’autre) et des tours en quinconce. Il est entouré de douves et est couvert par la forêt.

Une randonnée dans le parc national de Preah Monivong

Après cette visite culturelle, les touristes iront dans le parc national de Preah Monivong, au sud du Cambodge. Cette vaste forêt abrite une grande variété d’animaux comme les éléphants, les tigres, les léopards ainsi que les macaques. En outre, ce site est un endroit propice pour une randonnée. En effet, il compte un massif montagneux. Au pic de celui-ci se trouve le statut de la femelle Buddha. Par ailleurs, la station d’altitude de Bokor se situe sur une falaise dans ce parc. Elle était un lieu de détente pour les colons français. Sur place, les vacanciers profiteront de paysages à couper le souffle. De plus, la terrasse du Bokor Palace offre une vue plongeante sur le golf de Thaïlande. La meilleure façon de s’y rendre est d’aller en moto. Cette option permet aux bourlingueurs d’admirer les forêts verdoyantes sur le chemin.

S’évader sur l’île Koh Rong

Ce voyage aventure se poursuit par la découverte de l’île Koh Rong, dans le golf de la Thaïlande. Il s’agit de la 2e plus grande île cambodgienne qui se trouve à 2 h des côtes de Sihanoukville. Elle fait partie de l’archipel portant le même nom et couvre une superficie d’environ 78 km². Ce site est parfait pour les sports nautiques comme la plongée sous-marine. Cette activité offre une expérience unique. Les touristes auront l’opportunité d’observer une faune aquatique diversifiée. Par ailleurs, ils peuvent se balader le long des plages désertes au sable blanc et mettre les pieds dans les eaux cristallines. Ils ont aussi l’occasion de voir un beau coucher de soleil en faisant une randonnée à l’autre côté de l’île. En outre, pour s’y rendre, les vacanciers peuvent opter pour le trajet en bateau. Plusieurs agences situées sur le port de Sihanoukville offrent ce service.

Plus d’informations : http://aventure.marcovasco.fr/


  Circuit dans le sud ouest de l’Irlande

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Jour 1. Départ de l’aéroport de Cork, nous partirons vers le nord. Nous pourrons nous arrêter entre autre à Lough Gur, un des plus anciens sites archéologiques d’Irlande (http://www.loughgur.com/) et au château de Bunratty. Soirée en ville avec musique traditionnelle et nuit à Ennis dans le conté de Clare.

Jour 2. Nous partirons dans le Connemara ou peut-être nous verrons les nuages qui viennent du nord. Puis visite de Galway et nuit à Oranmore ou dans les envrions.

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Jour 3. Découverte des plateaux calcaires du Burren, classé Géo Park. Paysage lunaire et vue sur l’océan. Soirée à Kilfenora pour y voir les habitants se retrouver pour de la danse traditionnelle dans une ancienne étable. Atmosphère unique ! Nuit à Lisdoonvarna ou à Doolin.

Jour 4. Nous admirerons l’océan depuis les falaises de Moher et de Kilkee, nous traverserons le fleuve Shannon en ferry et nous irons jusqu’au village de pêcheurs de Dingle.

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Jour 5. Visite de la péninsule de Dingle et des ses monuments divers et remarquables. Puis nous irons jusqu’à Killarney, appréciée pour ses lacs mais dont Michel Sardou n’a pas célébré la beauté en chanson.

Jour 6. Tour du fameux « Ring Of Kerry », l’occasion de faire des photos-cartes-postales : Collines rocailleuses vertes parsemées de petites taches blanches laineuses au bord de l’océan.

Jour 7. Nous nous dirigerons doucement vers Cork, en nous arrêtant entre autre au cercle de pierre de Drombeg et à Kinsale, charmant petit village coloré. Nuit à Cork.

Jour 8. Transfert aéroport.

 

Plus d’info :
Pour un départ de Dublin, Shannon ou autre, contactez-nous !

Pour en savoir plus sur notre service de circuit accompagné, cliquez ici


  Tour d’Irlande, 2 semaines

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Voici un exemple de notre service. 15 jours / 14 nuits, accompagné par un guide francophone, hébergement et transport inclus.

Jour 1. Arrivée à l’aéroport de Dublin. Prise en charge, transfert jusqu’à l’hôtel. Promenade dans Dublin.

Jour 2. Nous quitterons Dublin pour une visite de Newgrange, gigantesque tumulus structuré par d’immenses blocs de pierres, concentrés sur un couloir couvert menant à une chambre mortuaire édifié en 3 200 avant J.C.
Passage à Monasterboice, une petite abbaye située dans le comté de Louth. Elle fut bâtie en 521 par Saint Buite, et faisait partie à l’époque d’un des plus grands centres culturels et religieux de l’époque. Très agréable à visiter, vous y trouverez quantité de croix celtiques exceptionnelles, ainsi qu’une tour ronde en ruine qui fut autrefois la plus haute tour de toute l’Irlande. Nous irons ensuite à Belfast où nous passerons la nuit.

Jour 3. Nous partirons en direction de la Chaussée des géants en passant par Les Glens of Antrim. Si ces paysages sont à couper le souffle, sachez que ces vallées offrent des panoramas tout à fait exceptionnels. Certains s’accordent même à dire qu’il s’agirait d’un des plus beaux coins de toute l’Irlande ! Visite de la distillerie de Bushmill.
Promenade le long de la Chaussée des Géants. Nous irons ensuite à Derry où nous passerons la nuit.

Jour 4. Nous traverserons le conté de Donegal avec une halte au Parc de Gleanveagh.

Jour 5. Promenade le long des falaises de Slieve League, deuxième plus haute falaise d’Europe, culminant à 606 mètres. Puis direction Wesport. . Nuit à Wesport, avec pourquoi pas un passage au pub de Matt Malone du groupe Irlandais les Chieftains.

Jour 6. Randonnée sur la montagne de Croagh Patrick, célèbre pèlerinage Irlandais et vue époustouflante sur la Baie de Clew et ses très nombreux îlots. Direction ensuite le Connemara où nous passerons la nuit.

Jour 7. Petite marche dans le Connemara puis traversée de ses paysages magnifiques puis nous irons à Galway. Visite de la ville et nuit sur place.

Jour 8. Nous continuerons vers le sud jusqu’à Kilfenora. Nous traverserons le Burren, immense plateau calcaire à l’aspect désertique. Nous y verrons le Dolmen de Poulnabrone et la Cathédrale de Kilfenora en arrivant.

Jour 9. Direction le Kerry via les Falaises de Moher, la station balnéaire de Kilkee et traversée du Shannon en Ferry. Visite du Château de Listowel si nous en avons le temps. Le soir nous pourrons profiter de l’ambiance unique des pubs de Dingle. Nuit à Dingle.

Jour 10. Découverte du « Ring of Kerry » et ses paysages typiques.

Jour 11. Route vers Cork avec une pause dans le charmant village de Kinsale. Visite de Charles Fort, fort médiéval, construit au XVIIème siècle, à l’entrée de l’estuaire du Bandon. Avec une vue imprenable sur la baie et le village de Kinsale, le coin est très touristique, et possède un charme plutôt sympa. Visite libre de Cork, nuit sur place.

Jour 12. Nous irons à Cashel, admirer son rocher majestueux puis à Kilkenny pour une visite du château.

Jour 13. Nous partirions en direction de Dublin. Nous visiterons Glendalough, un ancien monastère datant du VIème siècle. Endroit parfait pour le temps d’une halte, le coin est propice pour une balade entre l’Upper Lake et le Lower Lake, 2 lacs de toute beauté, qui contrastent magnifiquement avec les plaines verdoyantes environnantes. Le lieu est d’un calme saisissant, et possède une histoire vieille de plus de 1500 ans.

Jour 14. Visite de Dublin. Nous commencerons avec la brasserie Guiness, le tour inclus une dégustation avec vue sur la ville. Selon l’envie, nous pourrons voir Trinity College, l’université la plus ancienne d’Irlande dont la bibliothèque abrite le fameux Livre de Kells ainsi que différents autres monuments de Dublin. Passage « obligé » dans le quartier de Temple Bar. Ce quartier ultra-touristique et branché vit surtout la nuit, et offre à ses visiteurs un bel aperçu de la vie culturelle Dublinoise. Nuit à Dublin.

Jour 15. Transfert vers l’aéroport.

Partez avec Scrapbook Traveler Tour et prenez des vraies vacances : nous nous occupons de tout et surtout de vous !

Plus d’info :
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  Festivals dans l’ouest Irlandais

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Janvier

Winter Music Weekend

Sixmilebridge. Musique et danse irlandaise, concerts, « set dancing », « sessions » et fête dans les pubs.
www.wmw.ie

Février

Russell Memorial Weekend

Doolin. Traditional/Jazz/Bluegrass Festivals. Festival à la mémoire de Micho Russell, musicien traditionnel. Le festival se tient à Doolin, conté de Clare, au bord de l’océan.
The Russell Memorial Weekend

Fev / Mars

Corofin Trad

Corofin. 1 semaine de musique trad à Corofin, près d’Ennis
Phone: +353 (0)86 6070941
Corofin Traditional Music Festival

Mars

17 Mars

Paddy’s Day

Fête de la Saint Patrick, saint patron de l’Irlande.

 

Mai

Fête de l’huitre

Carrigaholt. Huitre et Guinness sont à l’honneur pendant 3 jours.
The Oyster Festival

Feakle

PJ Hayes Memorial Weekend

Festival trad à la mémoire de PJ Hayes.
http://www.clare.ie/events/view/music-107/pj_hayes_memorial_weekend-416.html

Ennis
Dernier week-end de Mai
20 – 28 Mai 2012

Fleadh Nua

Compétition de musique et danse traditionnelle.
Fleadh Nua

Mountshannon
Juin 2012

Iniscealtra Festival of Arts

Festival d’art : concerts, (jazz, classique, traditionnel et musique contemporaine) théâtre, ateliers…
Iniscealtra Festival of Arts

Milltown (Co. Kerry)

The World Bodhrán Championships

Compétition internationale de Bodhrán
The World Bodhrán Championships

Doonbeg
01 Juin 2011 au 04 Juin 2011

International Jazz Festival

Festival de jazz et blues à Doonbeg sur la cote ouest de l’irlande
Phone: +353 (0)65 9055039
www.doonbegjazz.com/

County Clare,
Miltown Malbay

Du 13 au 17 Juin 2011

Clare Fleadh

Compétition de musique et de danse, concerts, démonstration de « set dancing », « sessions » dans les pubs.
Phone: +353 (0)65 707 1891
Clare Fleadh

Ennis, Spancilhill
23 juin 2012

Spancil Hill Fair

Foire aux chevaux. Phone: +353 (0)65 6835483
spancilhillfair.com

Miltown Malbay
7 – 14 juillet 2011

Willie Clancy Summer School

Pendant 1 semaine, des centaines d’étudiant en musique viennent des 4 coins du monde se perfectionner dans leur discipline, que ce soit musique ou danse. Fantastique « sessions » dans les pubs, le festival Willie Clancy est l’un voir le meilleur festival de musique trad en Irlande.
Scoil Samhraidh Willie Clancy

Feakle
8 au 13 Août 2012

Feakle International Traditional Music Festival

Musique, danse, chant, théâtre, ateliers… Un excellent rendez-vous du traditionnel.
Concerts et Sessions dans tout le village pendant 5 jours.
www.feaklefestival.ie

Lisdoonvarna
31 août au 7 octobre

Lisdoonvarna Matchmaking Festival

Plus gros festival de rencontre en Europe !
Phone: +353 (0)87 835 0996
www.matchmakerireland.com

 

Tulla

Tulla Traditional Music Festival

Musique, danse, chant, théâtre, ateliers…
Phone: +353 (0)87 835 0996
tullatradfestival

 

Doonbeg

Willie Keane Memorial Weekend

Festival à la mémoire de Willie Keane. Danse et musique durant le week-end.
www.williekeanememorialweekend.com

 

Ennis

Ennis Trad Festival

Musique dans tous les pubs, excellente atmosphère.
www.ennistradfestival.com


  La tradition musicale en Irlande

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En Irlande, la musique traditionnelle est plus vivante aujourd’hui qu’à l’époque de l’oppression anglaise : médias et moyens de communications modernes, l’ont portée à travers le pays et au-delà des frontières où elle inspire bon nombre de musiciens.


Ci-dessus, les gagnants en 2009 de l’émission de télévision « The All Ireland Talent Show », équivalent de « A la recherche de la nouvelle star ».

Dans les pubs, les week-ends en hiver et tous les soirs en été, dans les rues, lors des festivals, des compétitions, au sein des cours, la « musique trad » est à portée d’oreille de tous, moins jeunes et jeunes, transmise par les uns, perpétuée par les autres, avec passion et fierté.

Certaines manifestations créent « l’évènement » au cours de l’année :

– les fleadh (se prononce [FLA]), sont des compétitions au niveau local (Fleadh Nua), national (Fleadh Cheoil na hÉireann) et même international, puisque les Irlandais sont en plus grand nombre hors d’Irlande que dans le pays. Ces compétitions incluent différentes catégories : danse, instruments, groupes, chants. Les participants s’affrontent durant une semaine, par tranches d’âges.
Des « sessions », (regroupements de musiciens), se produisent dans tous les pubs des villes et villages.

– les festivals célèbrent la mémoire d’un musicien local ou tout simplement la musique elle-même. Durant ces évènements il est possible de participer a des « workshop », ateliers d’apprentissage d’un instrument : tin whistle (petite flute métallique), accordéons, fiddle (violon), pipes (genre de cornemuse), Bodhrán (genre de gros tambourin) etc… mais aussi apprentissage de danses traditionnelles : le Set (quadrille) ou Sean-Nos (danse solo).

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La musique, ici, étroitement liée à la vie des pubs, de la communauté, du village, offre l’occasion de faire la fête et, il faut bien le dire, de vider quelques pintes avec les voisins, au pub local. Et même si la soirée est normale, sans musique ni événement particulier, il n’est pas rare que quelqu’un, tard dans la nuit, enhardi par des litres de Guinness, entonne un vieux chant irlandais.

 

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